SOUTIEN À LA FRÉQUENTATION SCOLAIRE

La #CPEBPQ suit de près les demandes d’encadrement à la fréquentation scolaire par le biais d’un mandat d’initiative sur la scolarité des enfants #autistes proposé par la député libérale Jennifer Maccarone MNA/Députée, Westmount-Saint-Louis. À plusieurs reprises depuis le début de la pandémie, nous avons transmis nos préoccupations aux élus quant aux impacts de la fermeture des écoles chez les enfants à besoins particuliers nécessitant une plus intensité de soutien et d’encadrement, notamment les enfants autistes, mais pas qu’eux. Nous avons enjoint les ministères de la Famille, de l’Éducation et de la Santé et services sociaux à travailler en concertation pour recenser et évaluer la diversité des besoins de conciliations familiales en temps de pandémie en prenant en compte la diversité de leurs réalités familiales.

Nous avons proposé des priorités d’action comme rehausser le crédit pour enfants handicapés; de faciliter les partenariats public-privé afin d’accroître l’offre d’accès aux professionnels (psychologues, orthopédagogues, travailleuses sociales, psycho et éducateurs spécialisés et personnes pouvant offrir du gardiennage-répit spécialisés) qui peuvent d’aider les familles et les écoles à mieux soutenir les besoins particuliers des enfants et apprenants. Aucun parent d’enfants à besoins particuliers d’âge scolaire ne devrait être forcé de prendre congé voire renoncer à leur emploi, de vivre de l’épuisement parentale et de la détresse psychologique faute d’avoir accès aux ressources complémentaires nécessaires à l’encadrement et aux apprentissages de leur enfant.

Avec le Québec en zone rouge, de surcroît, il s’avère impossible d’accéder à des services en directs ailleurs qu’à l’école. Avoir besoin de services de soutien complémentaire en tant qu’élève en situation de handicap ou ayant des difficultés d’apprentissage et d’adaptation scolaire n’est pas un luxe; c’est un droit enchâssé par la Loi d’instruction publique et protégé par la Charte. « Si un jeune n’a pas de services en lien avec ses besoins et qu’il ne peut pas suivre l’enseignement dispensé à l’école [ou à distance] au même titre qu’un enfant qui n’a pas de limitation, ça devient discriminatoire », prévient Daniel Ducharme, chercheur à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.

Prise de position dans les médias

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