Inspiré d’un modèle italien pour contrer le travail au noir, le chèque emploi-service est préconisé par les services sociaux et de santé du Québec pour faciliter l’accès aux services de soutien à domicile de qualité aux personnes en perte ou en manque d’autonomie et prévenir l’épuisement des proches.
Les récentes coupes dans les heures allouées aux prestataires sont abjectes et immorales. Non seulement elles sont contraires aux objectifs visés de ce programme, mais lèsent les droits à la santé et briment la qualité de vie de milliers de personnes vulnérables et de celles qui les soutiennent.
Est-ce ce genre de valeurs validistes qu’on veut promouvoir au Québec?
Personne est à l’abri de se retrouver un jour en perte d’autonomie. Ce n’est pas un choix.
Ce sont des services essentiels qui devraient être préservés dans nos crédits budgétaires.
